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Contes & Légendes

Le Traître

Prologue

Le monde des elfes est très jeune. Alors que les hommes ont vu passer plus de vingt générations, les elfes n'en sont qu'au début de leur quatrième et cinquième génération. Leur futur est fragile et chaque elfe le sait très bien. C'est entre autre pour cette raison que nul n'est autorisé, sauf les elfes natifs de Elval'il, à pénétrer les terres de leurs ancêtres, les Landes Elfiques. Pour cette raison, les elfes ont tendance à avoir une très bonne mémoire des événements du passé. Et l'un des pire souvenir dont ils parlent encore aujourd'hui est la trahison du magicien Ayanantanazer Shaalatan'Ter, l'apprenti de l'un des plus grand archimage, Saeros Guendalass.

Le Traître

Ayanantanazer de la famille Shaalatan'Ter était un très bon étudiant. Son maître, Saeros Guendalass, celui qui, à l'époque, était considéré comme le plus puissant archimage, prenait pour la première fois un apprenti. Et il était satisfait. Non seulement le jeune elfe apprenait rapidement mais il voyait en lui le potentiel de devenir le prochain grand archimage. Si seulement il avait pu prévoir…

Dès qu'Ayanantanazer reçu officiellement le titre de mage, les problèmes commencèrent. Dans sa soif de pouvoir, dans sa détermination à devenir le plus puissant mage que le monde n'eût jamais porté, il prenait de dangereuses décisions. Bientôt, il entrait en communication avec des entités dont il aurait été préférable de ne jamais réveiller. Son pouvoir grandissait à vu d'œil et son maître commençait de plus en plus à s'inquiéter. Saeros fit assembler les sages à Shan'So'Ar, la capitale d'Elval'il. Ils discutaient du danger potentiel de son élève et ils en vinrent à décider que si le jeune mage devait encore faire des actions que le conseil jugeait de dangereuses, il n'auraient d'autre choix que d'appliquer une ancienne loi qui n'avait jamais été émise depuis l'aube des jours, le bannissement de Ayanantanazer hors d'Elval'il. Il serait renié de la race des elfes.

Le jeune elfe fût mit au courrant et il changea son comportement et devint un élève modèle… enfin c'est ce qu'il laissait croire. Il continuait tout de même ses activités en secret, prenant bien soin que personne ne le remarque, et grâce aux forces obscures qu'il servait, il acquis très rapidement un puissance bien au-delà des attentes de son maître. Ayanantanazer n'avait qu'à peine deux cent ans lorsqu'il pouvait se comparaître à la puissance de son maître. N'ayant plus rien à apprendre de lui, il commença de nouveau a agir de façon étrange et répréhensible selon les lois elfiques et le conseil voulu le bannir. Ce n'était pas aussi facile que prévu de bannir un personnage de sa puissance et même seul, Saeros n'aurait pu y parvenir. C'est alors que pour la deuxième fois de l'histoire, le cercle des mages de la Haute Magie se réunit afin d'invoquer un puissant sortilège sur Elval'il. Ils durent sacrifier la vie de trois d'entre eux dans une incantation des plus difficile qui dura un an sans arrêt. Lorsque le rituel fût complété, Ayanantanazer fut repoussé des Landes et il ne pourra plus jamais y remettre les pieds. La magie invoquée l'empêchait d'entrer à l'intérieur des limites du royaume.

Ayanantanazer, que le peuple entier des elfes surnommait Le Traître, n'eut d'autre choix que de marcher, à bout de forces, sans provisions, sans arme ni grimoire de magie, pendant des jours vers l'ouest. Il arriva enfin dans le royaume de Kintar mais la présence d'humains et des autres races ne lui plaisait pas du tout. Il se sauva dans la Montagne de L'Ombre, à l'est du royaume. Il s'établit au sommet et, travaillant nuit et jour, réussit à regagner quelques unes de ses incantations et il put entrer de nouveau en contact avec les créatures de la nuit qui lui avaient donnés ses pouvoirs. Il était de nouveau le grand magicien qu'il avait été. Il utilisa ses pouvoirs pour soumettre des créatures sous son joug et il fît construire une très haute tour au sommet de la montagne. La Tour Noire, qui avait été surnommé ainsi en lien avec son propriétaire, se dressait maintenant dans le paysage.

De sombres rumeurs planaient dans les villages environnants et d'étranges événements perturbaient la vie paisible des paysans de Kintar. On parlait de disparition de gens, attaqués par de viles créatures qui n'avaient jamais encore été aperçu au par avant. Puis des groupes d'aventuriers se formaient pour se rendre jusqu'à la Tour Noire pour libérer la région de l'emprise de ce mage maléfique. On n'entendit plus jamais parler d'aucuns d'entre eux. Bientôt, des créatures attaquaient maintenant les villageois directement dans leurs maisons et la panique s'installa peu à peu. Les gens désertaient la région et elle fût rapidement peuplée par des monstres de toutes sortes.

Saeros eût vent de la nouvelle et comprenant que peu importe l'endroit où il irait, personne ne pourrait l'arrêter. Il avait peu être sauvé Elval'il de son terrible pouvoir mais il n'avait fait que faire souffrir les gens en dehors des Landes. Le conseil ne voulait pas se mêler des affaires en dehors de leur royaume alors l'archimage Guendalass décida que c'était à lui que revenait le devoir de faire quelque chose. Il le connaissait mieux que quiconque. Il commença à réunir des héros de son peuple pour former un groupe qui serait capable de venir à bout de cet adversaire insurmontable. La Compagnie de l'Honneur avait été fondée et comptait parmi ses membres, autre que Saeros lui-même, le prestigieux Taar'Sauï, le grand champion de Chantelame des Landes. L'un des plus grands guerriers de la nation elfique. Ils reçurent aussi l'aide de la Haute Druidesse Lélia Maleïss. Se joint à eux un jeune paladin de Kantéo du nom de Caraeldin. Bien qu'il était assez peu expérimenté, il avait une grande ferveur et son histoire avait touché Saeros. Ce jeune paladin avait été attitré à la protection de la princesse Luelindrielle, fille unique de l'Orateur et ils s'étaient épris l'un de l'autre. Malheureusement, leur statut les empêchait de consumer cet amour et la princesse s'enfuît de la citadelle. Caraeldin voulait à tout prix la retrouver et il avait le pressentiment qu'il la trouverait s'il partait à l'aventure avec eux.

Pendant que la compagnie s'organisait, Ayanantanazer avait organisé sont contrôle sur toute la région et toutes les monstres intelligents lui déclaraient allégeance. Il était plus qu'un grand mage, il était maintenant un monarque. Toutes ses créatures étaient sous ses ordres et il s'en servait pour se protéger et pour agrandir davantage son pouvoir.

Il respectait particulièrement les Trolls qui était une race très puissance et ces derniers se virent récompensés pour chaque actions qu'il faisaient en son nom. Il commença des recherches sur la race et il parvint à créer une nouvelle race à partir des Trolls. Il avait voulu éliminer tous les points faibles de la race tout en augmentant leur potentiel et leur intelligence. Selon lui, la race qu'il venait de créer, les Trolls Noirs, était parfaite et ils étaient invincibles. Ils possédaient la forte régénération de leurs cousins sans avoir leur vulnérabilité au feu et à l'acide. Ils étaient simplement indestructibles.

Peu longtemps après, il fît la rencontre de la princesse Luelindrielle. Caraeldin avait vu juste, l'objectif de la Compagnie de l'Honneur le mènerait à elle. Elle s'était sauvée des Landes pour ne pas à avoir à vivre sous la soumission des règles strictes émises par ses pairs et elle ne pouvait pas vivre près de Caraeldin, qu'elle aimait de tout son âme, alors que ce dernier refusait cet amour pour se tourner vers sa foi et son honneur de paladin. Il l'aimait autant qu'elle mais son devoir passait avant et elle ne pouvait vivre ainsi à ses côtés sans pouvoir consumer cet amour. Dans son périple, elle eût la malchance de tomber sur le territoire du Traître qui l'apprit aussitôt grâce à tous les espions qui épiaient ses terres en permanence. Il en profita pour monter un nouveau plan infernal. Il usa de ses puissants sorts de charmes sur la jeune elfe et malgré la résistance innée des elfes à ce genre de sortilège, la puissance d'Ayanantanazer était telle qu'elle succomba. Il la fît son épouse et la corrompu jusqu'au tréfonds de son âme si bien qu'elle était désormais aussi sombre et cruelle que lui. Il s'étonnait même parfois à ce qu'elle soit encore plus perfide que lui. Lui et les entités des ténèbres qu'il servait avaient profiter de sa blessure au cœur pour la détruire complètement et faire d'elle une créature de la nuit.

Dans le cours temps où Ayanantanazer avait vécu avec la princesse Luelindrielle, ils avaient eût un enfant. Malgré tout le mal qui rongeait les environs de la Tour Noire, la naissance avait attiré le regard des puissances divines et ont décida de venir en aide à l'enfant afin qu'il ne devienne pas à son tour un agent du mal. L'enfant, une fille qui avait reçu le nom de Mayana, fût enlevé pendant une nuit. Jamais ils ne se doutèrent que des créatures de la lumière étaient derrière cet enlèvement et Saeros était persuadés que c'était là l'œuvre de sa femme. Il croyait que le peu d'amour qui lui restait couplé à la corruption qui grugeait son âme l'avait fait perdre la tête et qu'elle avait tué l'enfant de ses propres mains. Dans une colère aveuglante, le Traître tua froidement sa femme. Malgré tout, l'esprit de la princesse resta coincé en ce monde et elle continua à hanter la tour et les environs, s'attaquant à toutes les créatures qui s'en approchaient en les tuant par son simple hurlement. La seule personne qui était assez puissant pour lui résister était Ayanantanazer mais bientôt il abandonna l'idée de se débarrasser d'elle. Elle faisait une bien meilleure garde du corps que n'importe quelle autre créature qui le servait.

La Compagnie de l'Honneur arriva enfin sur les terres du mage et il tentait de se frayer un chemin parmi les monstres qui leurs barraient le chemin à la Tour Noire. Il leur fallu plusieurs jours et plus de volonté qu'aucun groupe ne fit jamais face pour pouvoir y parvenir. En fait, si le jeune Caraeldin n'avait pas été parmi eux, ils auraient depuis longtemps rebroussé le chemin mais sa ferveur et sa volonté à retrouver sa princesse le poussa à continuer et il réussit à supporter les autres et les convaincre de continuer avec lui. S'ils auraient refusé, il aurait continué seul, en vain, et aurait été tué.

Même les épreuves qu'avaient franchit les aventuriers pour se rendre à la Tour Noire n'étaient rien à comparé de ce qui les attendait à la tour, elle-même. Lorsqu'ils pénétrèrent à l'intérieur, ils durent affronter des périples qui ne peuvent même pas être décris en mots. Ils passèrent par toutes les souffrances imaginables et d'autres bien pire encore que même l'esprit le plus tordu n'eût jamais la force d'envisager. Seuls Saeros survécu et réussi à atteindre le dernier étage de la tour, là où se réfugiait son ancien apprenti.

Caraeldin avait lui aussi survécu aux épreuves mais cela, même Saeros n'en savait rien. Ils avaient été séparés depuis longtemps et Caraeldin se retrouva seul face à face avec Luelindrielle. Lorsqu'il compris finalement que c'était elle, il tomba à genoux, implorant les dieux de prendre sa vie pour l'empêcher d'avoir à endurer cette douleur. Elle avait été complètement corrompue par les forces obscures et il était incapable de l'accepter. Il était conscient que tout cela était de sa faute et il s'en voulait assez pour offrir son âme à L'Empereur du Chaos en personne. Mais lorsque la princesse le vît fondre en larme face au désespoir, le visage détruit par la souffrance, l'infime parcelle de son cœur que même Ayanantanazer avait été incapable de détruire pris le dessus et elle le serra dans ses bras… du moins elle aurait voulu le faire. Elle était morte depuis longtemps, de chagrin, et elle avait été transformée en une créature qui n'existait pas encore dans ce monde à ce moment : une banshee. Seul son esprit torturé était resté dans ce monde et maintenant qu'elle comprenait qu'elle avait réellement tout perdu, elle fondit en larmes. Mais ses sanglots étaient encore plus puissants que la cruauté qu'elle avait pu avoir et le seul bruit de la princesse en larme avait été suffisant pour pratiquement tuer Caraeldin. Lorsqu'il compris qu'en entendant sa bien aimée gémir, il perdait peu à peu son énergie vitale, il se résout à utiliser les dernières forces qu'il lui restait pour abrégé ses souffrances et enfonça son épée dans sa poitrine, se perforant le cœur de part et d'autre. Il tomba au sol, mort dans un chagrin jamais inégalé. C'est la déesse Éralistra qui, face aux sentiments si profonds du paladin, décida de lui accorder la chance de libérer sa bien-aimée, un jour de ce monde. Son âme fût transférée dans son épée qui devint l'épée Caraeldin. Elle fût perdu dans les âges mais sera sans doute retrouvée un jour pour accomplir le destin du jeune paladin.

Au même moment, au sommet de la Tour Noire, Saeros Guendalass, l'Archimage et Ayanantanazer Shaalatan'ter, dit Le Traître, livraient un combat sans merci. Leurs pouvoirs semblaient équivalents et chaque sort que lançait l'un était contré par l'autre et bientôt la tour entière n'était plus que ruine, ce qui n'arrêta en rien le duel des deux mages. Bientôt les combattants étaient à bout de souffle et c'est à ce moment qu'Ayanantanazer décida d'invoquer ses maîtres qu'il avait si bien servis toutes ses années et de leur demander service. Ses vœux furent visiblement accordés et il invoqua un puissant bâton magique qui sera nommé Traîtrise. Grâce à ce nouvel artefact en sa possession, Ayanantanazer gagna rapidement le dessus sur le combat et Saeros dût battre en retraite en utilisant un sort de téléportation.

De retour à Elval'il, il était découragé. Tous les membres du groupe avaient été tués et lui seul était survivant de ce terrible affrontement. Son ennemi avait maintenant l'avantage et maintenant plus rien ne pouvait l'arrêter. Il abandonna l'idée de venir à bout de lui pendant bien des années. Pendant ce temps, il eût un fils qu'il nomma Vizilir. Le rejeton avait immanquablement acquis les qualités de magicien de son père et l'avenir nous montrera que ce dernier prendra la place de son père et le dépassera même dans ses talents. La venue de son fils lui redonna confiance et il fît créer l'Académie Guendalass, la plus réputée des écoles de magie. Il s'assura qu'il ne commettrait plus jamais la même erreur qu'avec son ancien élève et il faisait passer un test très difficile aux postulants afin d'identifier ceux qui avaient le potentiel de devenir dangereux et les refusait systématiquement et s'appliquait même à suivre l'évolution de ces gens et ils empêchait ces derniers à ne jamais apprendre quelque forme de magie que ce soit.

Vizilir devint bientôt en âge et il entra à l'académie de son père pour y apprendre la magie. Là, il y fît la rencontre d'une jeune elfe à la beauté resplendissante. Elle disait ignorer tout de ses vrais parents, (elle avait été adoptée à sa naissance par un couple d'elfes qui vivaient dans la capitale) mais elle avait vraisemblablement un potentiel incroyable pour la magie. Elle s'appelait Mayana.

Lorsque Vizilir appris à son père qu'il allait épouser Mayana, il compris qu'il avait maintenant accompli sa vie et qu'il ne lui restait qu'à attendre l'Appel des Arbres¹. Malgré tout, son plus grand échec le marquait encore. Il avait engendré un disciple que personne au monde n'arriverait à arrêter et le monde verrait peut-être même sa fin par sa faute et son incapacité à arrêter Ayanantanazer. C'est que peu de temps après le mariage de son fils unique qu'il appris que Mayana était en fait Mayana Shaalatan'ter, fille de Ayanantanazer et de Luelindrielle.

¹ l'Appel des Arbres est le rituel elfique qui fait en sorte que lorsqu'un elfe d'Elval'il arrive au bout de ses jours, il est appelé vers la forêt et il se transforme en sylvanien pour finir ses jours dans le repos de la nature sous la forme d'un arbre géant.

Cette nouvelle lui redonna espoir. Cela n'avait pu être qu'un hasard. C'est alors qu'il partit en pèlerinage, seul, afin de perfectionner son art de la Haute Magie elfique et l'éleva jusqu'à un point qui n'avait jamais été atteint par le passé. Mais par cette absence, Vizilir, Mayana et tous les autres élèves de l'académie durent se privé de leur mentor et chacun dû se débrouiller comme ils le pouvaient pour perfectionner leur art. Plusieurs abandonnèrent même l'idée de devenir magicien.

Lorsque Saeros atteint le paroxysme de son art, il était enfin prêt à affronter de nouveau son disciple. Il était désormais beaucoup plus âgé mais son ennemi aussi et bien que l'effet du vieillissement décroissait l'endurance, l'agilité et la force d'un individu, il améliorait sa sagesse et son intelligence et rendait un mage encore plus redoutable dans son art profane. Il partit, seul cette fois, à la Tour Noire et il provoqua de nouveau Ayanantanazer en duel. Les nombreuses années qu'il avait pris à perfectionner sa Haute Magie l'avaient rendu beaucoup plus puissant et dans le combat, il réussit à s'emparer du bâton de son élève, Traîtrise. Ayanantanazer fût enfin vaincu et, bien que Saeros lui laissa une chance de rédemption, il dût se résoudre à le tuer puisqu'il avait profité de cette trêve pour relancer son assaut. Le Traître avait été vaincu. L'Archimage usa de ses nouveaux pouvoirs pour libérer les environs des créatures qui s'y étaient établis et plus tard, les paysans purent regagner leur terre natale. Et la Tour Noir avait été détruite pour de bon. Plus tard, bien des aventuriers visitèrent l'endroit pour s'emparer des trésors qui y résidaient mais aucun d'entre eux ne trouvèrent le repaire secret où le Traître avait stocké ses connaissances.

Mais tout n'était pas encore terminé, Saeros, en étudiant le bâton de son disciple, compris que les forces des ténèbres qui avaient données tant de pouvoir et qui avaient corrompu Ayanantanazer s'étaient enfermés dans le bâton afin de donner plus de puissance au mage. Saeros tenta par tous les moyens de le détruire mais n'y parvint jamais. Il décida donc l'enfermer Traîtrise sous les monts de Glogordath, dans une fosse qui descendait dans les entrailles de la terre. Il construit même un donjon qu'il rempli de créatures et scella l'entrée afin que personne ne puisse jamais s'emparer de Traîtrise et de s'emparer des pouvoirs obscurs que renfermait le bâton.

 
 

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